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Confidentiels
L'express leaks du dimanche 6 avril au vendredi 11 avril 2025
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Confidentiels
L'express leaks du dimanche 6 avril au vendredi 11 avril 2025

Plongez au cœur de l'actualité avec l'express, où nous vous dévoilons en exclusivité les derniers bruits de couloir, les buzz les plus récents et les scandales les plus retentissants que d'autres vous cachent. Restez informés et découvrez les dessous des événements qui façonnent notre société.
MK sous surveillance Après la sortie en règle de Paul Bérenger contre l’actuelle direction d’Air Mauritius par rapport à leurs déclarations malheureuses sur les vols commerciaux à Agalega, le PMO aurait placé la compagnie sur son radar, surtout après la confusion provoquée par les communiqués sur les vols vers Perth. Objectif : permettre une reprise d’altitude.
Compétition entre enquêteurs
L’Anti-Money Laundering (AML) Unit de la CCID faisait tout, dans le cadre de l’affaire Menlo Park, pour arrêter l’ex-ministre Renganaden Padayachy. Elle a été prise de vitesse par la Financial Crimes Commission après le grand déballage de Harvesh Seegolam dans la nuit de mardi à mercredi. Les policiers de l’AML comptent redoubler d’efforts.
BOMEU en mode «on» Le syndicat des employés de la Banque de Maurice (BOMEU), qui était en veilleuse, a été remis sur pied. Il a soumis sa demande d’accréditation vendredi auprès du management qui a 43 jours pour valider ou pas. L’ancienne direction avait refusé de reconnaître le syndicat et l’affaire avait dû finir en cour .
Manque de chauffeurs
Plusieurs compagnies disent avoir du mal à distribuer leurs produits en raison d’un manque de chauffeurs. Le gouvernement a été alerté et une demande a été faite pour accélérer les procédures relatives à l’importation de la main-d’œuvre pour remédier à cette situation.
Écrire pour être lu... plus tard L’émission Écrire pour être lu, par l’ex-journaliste et désormais politicienne Géraldine Hennequin-Joulia, initialement prévue ce mercredi 9 avril à 20h15 sur la MBC, est reportée à une date ultérieure, pour des «raisons indépendantes» de la volonté des participants. Ceux-ci seront informés dès confirmation de la nouvelle date.
Allô Paris et Berlin Les lobbies s’intensifient pour caser deux personnes, proches de deux élus, comme ambassadeurs à Paris et à Berlin, mais le PM refuse de céder aux pressions, sachant que ces nominations ne seraient pas bien accueillies; surtout après la non-baisses du prix des carburants; confie-t-on...
Une affaire de castes
Deux groupes autoproclamés pur-rouge se déchirent sur la Toile par posts diffamatoires interposés. Chaque camp dénonce les travers de l’autre. Alors que l’on pensait que c’était lié à des postes convoités par certains, dont à la SBM ou à Mauritius Telecom, l’on nous explique que c’est surtout une guerre de castes pour accaparer le pouvoir politique.
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Limiter le nombre de boards
Au PMO, des directives claires ont été données pour limiter le nombre de boards sur lesquels peuvent siéger les conseillers et les hauts fonctionnaires. Ce qui ne plaît pas à certains bien évidemment parce que c’est sur de tels boards qu’on se fait un peu de miel sur le dos des contribuables.
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Postulants au poste de «Chief Stipe»
Les entretiens pour le poste de Chief Stipe ont débuté hier à la Gambling Regulatory Authority. Plusieurs candidats sont en lice, dont le Mauricien Stephane de Chalain, les Sud-Africains Deanthan Moodley et Julia Keevy, ainsi que les Australiens, John Zucal, Finn Powrie et Wayne Wood, entre autres. Sur le papier, Deanthan Moodley, avec son expérience et sa carte de visite, est certainement le plus qualifié, mais dans les coulisses, c'est Stephane de Chalain, qui est donné grand favori.
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Rs 40 millions pour des voitures de luxe ?
Une compagnie de télécommunications, qui a bénéficié de Rs 40 millions des fonds de la Mauritius Investment Corporation (MIC), a-telle utilisé cet argent pour acheter des voitures de luxe en Afrique du Sud ? Selon des bruits de couloir, cette entreprise serait dans le viseur de la MIC, qui chercherait à savoir à quelles fins a été utilisé l’argent public. L’argent a-t-il été retourné par l’entreprise ? C’est la question que se posent ceux qui ont été surpris de la voir financée par la MIC, alors même que les banques refusaient de lui accorder des prêts.
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