Les marchands ambulants ne comptent pas rester les bras croisés. De son côté, le ministère des Collectivités locales maintient sa position. Cette semaine s’annonce chargée…

Les marchands entament leur deuxième semaine de rassemblement pour dénoncer le fait que les autorités refusent d’écouter leurs doléances. «Si la situation ne s’améliore pas, nous irons vers une grève de la faim. C’est triste d’en arriver là, mais les marchands n’ont plus de quoi vivre», dit Hydar Ryman, président du Front commun des marchands ambulants.

Les femmes ont aussi interpellé Ameenah Gurib-Fakim, à travers un courrier, pour lui demander d’intervenir auprès des autorités. Sa réponse est attendue. Ce week-end, Roubina Jadoo-Jaunbocus a également essayé d’ouvrir une ligne de négociation avec la hiérarchie du MSM afin de trouver une solution.

Et Hydar Ryman devrait rencontrer, le lundi 25 avril, des hommes religieux de tous bords pour définir la marche à suivre pour les familles.