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Volley-ball: Le Star Knitwear mise sur la stabilité
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Volley-ball: Le Star Knitwear mise sur la stabilité
Alors que d’autres équipes se construisent encore et que d’autres font leur révolution, le Star Knitwear VBC (SKVBC) ne change pas vraiment de tête, et ce depuis quelques saisons déjà.
Les départs et les arrivées sont plus ou moins rares. Sanjeev Jundhoosing préfère les choses ainsi.
Cette année, trois éléments ont refait leur apparition dans le nord de l’île. Sharma Burrun, membre de la première heure, parti pour une saison à Quatre-Bornes sans avoir pu vraiment jouer, Bruno Anne, ancien Quatre-Bornais qui n’avait pas eu son transfert la saison dernière, et Kevin Appigadu, ancien pilier du groupe qui a pris ses distances du volley. Jundhoosing confirme que « les anciens feront vraisemblablement l’ossature du groupe ».
Pour cette présente saison, le coach du club de Grand-Baie compte sur les Sophie, Louise, Burrun, Sanath, Domingue entre autres, ceux qui ont fait du Star Knitwear VBC une force du volley local.
Déçu de la saison 2009, Star Knitwear VBC espère bien rattraper le coup cette année. « Bon, il est vrai que Camp-Ithier reste un gros morceau. Il y a eu de bons recrutements.
Ce n’est pas pour autant que notre groupe n’a pas les moyens d’offrir un challenge sérieux », confie Jundhoosing.
Le coach espère bien récupérer ses blessés. Sharma Burrun soigne une cheville récalcitrante et Bruno Anne récupère d’une opération chirurgicale.
En revanche, Stéphane Toussaint, le passeur, pourrait être absent durant la première partie de la saison.
« Il a fait un accident à moto et était même dans le coma. Il prendra du temps pour revenir à son niveau », ajoute l’entraîneur.
Dans l’immédiat, SKVBC prépare sa troisième Coupe des Clubs Champions (13 au 19 mars).
« Après Madagascar et les Seychelles, nous allons jouer chez nous. Je pense que ce sera un petit plus pour les joueurs d’être dans leur environnement.On va jouer crânement nos chances », confie-t-il.
A fond dans la préparation, Jundhoosing mise sur le conditionnement physique et le peaufinage des fondamentaux. « On est à cours de temps. Donc, il est impératif de faire l’amalgame des deux aspects. Il y a le Charity Shield le 21 du mois courant.
Donc, il faudrait avoir un minimum sous la semelle pour y aller », explique l’ancien assistant entraîneur national en 2003.
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