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Gopio : Faire de Maurice un centre d’excellence pour la diaspora indienne

3 mars 2012, 00:00

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Gopio : Faire de Maurice un centre d’excellence pour la diaspora indienne

<STRONG>Selvarajoo Sundram, président de la Gopio International, veut faire de Maurice un centre d’excellence pour la diaspora indienne. Il fera une proposition en ce sens lors de la Convention de l’organisation en octobre.<BR></STRONG>&nbsp<BR>&nbspLes opérateurs économiques de l’économie régionale et internationale ne sont pas les seuls à souhaiter que Maurice devienne une véritable plaque tournante dans la région du bassin de l’océan indien. En effet, Global Organisation of People of Indian Origin (GOPIO) ambitionne de voir Maurice se transformer en un centre d’excellence pour GOPIO Internationale.<BR>&nbsp<BR>L’idée a été évoquée avec les leaders politiques locaux par Selvarajoo Sundram, président de GOPIO International : «<EM> Je vais faire une proposition formelle en ce sens lors des travaux de la prochaine convention de GOPIO prévue du 20 au 22 avril prochain à Kuala Lumpur en Malaisie ».<BR></EM>&nbsp<BR>Pour Premchand Boojhawon, président de la&nbsp branche locale de la GOPIO International, le projet de centre d’excellence consiste à aménager un site où GOPIO sera en mesure de mettre à exécution les projets qui lui sont chers dont la création d’une université. Il annonce que la souscription à GOPIO n’est pas réservée aux seuls Mauriciens d’origine indienne seulement. « <EM>La souscription est ouverte à tous les Mauriciens. D’ailleurs, je les invite à participer aux travaux de la Convention et à se faire enregistrer comme membre de cette organisation ».<BR></EM><BR>La présence du président de GOPIO internationale et de Palaiappan Annamalaï, directeur de StudenBiz, une société chargée de promouvoir la Malaisie à Maurice, se situe dans le cadre d’une campagne en vue d’encourager les Mauriciens d’origine indienne de participer aux travaux de la Convention de Kuala Lumpur. Les représentants d’une trentaine de pays participeront aux travaux de cette convention. Ceux-ci s’articuleront autour de trois axes majeurs la culture, le social et les différentes langues parlées par les Personnes d’origine indienne, les opportunités d’études pour les jeunes de la diaspora et la médecine alternative.<BR>