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Emirates garde le cap
Pression économique globale, prix élevé du fioul… Malgré des turbulences, le groupe Emirates maintient le cap. Il annonce même des profits en hausse de 4 % pour les six premiers mois de l’année ainsi que de nombreux projets. Parmi ceux-ci, l’achat d’avions et la desserte de nouvelles destinations.
Les vents contraires s’enchaînent, prix élevé du fioul, taux de change défavorable, pression économique globale… Malgré tout, le groupe Emirates garde le cap. Il annonce même une hausse de 4 % des profits nets de l’ordre de 600 millions de dollars américains pour les six premiers mois de l’année.
Les revenus du groupe suivent la tendance, avec 11,5 milliards de dollars américains pour les six premiers mois de l’année financière se terminant au 30 septembre 2013. Ce qui représente une hausse de 13 %.
«Les résultats du premier semestre démontrent une demande constante pour nos produits et services. Notre capacité et la croissance au niveau de notre réseau continuent à égaler la demande des clients», indique le sheikh Ahmed bin Saeed Al Maktoum, président et Chief Executive d’Emirates Airline et groupe.
Ainsi, les projets se multiplient. Outre les dix avions reçus ces six derniers mois - six A380, trois 777 et un avion cargo 777 -, Emirates en aura 15 autres d’ici à mars prochain. Elle desservira aussi de nouvelles destinations, dont Kabul, Kiev, Taipei et Boston. Emirates dessert 137 destinations sur 77 pays comparé à 126 cités dans 74 pays l’an dernier.
Le nombre d'employés a également augmenté de 11,7 % comparé à mars 2013 pour atteindre le nombre
de 75 800.
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