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Coiffure : Sasha ouvre un salon haut de gamme à Port-Louis

21 mars 2011, 00:00

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Coiffure : Sasha ouvre un salon haut de gamme à Port-Louis

Le salon de coiffure haut-de-gamme Sasha s’implante dans la capitale. Après Curepipe, Sasha Mosafeer a inauguré un deuxième salon « high-tech », à Port-Louis, à la fin de la semaine dernière.

Equipé des dernières technologies, spacieux et surtout très relaxant. C’est ainsi que se présente le nouveau salon de coiffure de Sasha. Sis à l’angle des rues Léoville-L’Homme et Sir-William-Newton (à l’étage du restaurant Nando’s), le salon propose non seulement des soins pour cheveux mais aussi une manucure et un pédicure.

Déco baroque, fauteuils confortables, magazines, musiques, conseils. Tout y est pour attirer ceux qui veulent se faire chouchouter le temps d’une coiffure ou d’une manucure.

Le coiffeur assure que tous les produits de la marque Paul Michel, utilisés dans son salon, lui viennent directement des Etats-Unis. «Pour toute mon équipe, le soin des cheveux est à la fois une nécessité et une priorité. Nos produits garantissent le respect des cheveux », souligne Sasha Mosafeer.

Le jeune professionnel de la coiffure affirme que c’est surtout pour célébrer les 15 ans d’existence de son premier salon, à Curepipe, qu’il a voulu ouvrir un second et agrandir son commerce. «Personnellement, j’étais prêt depuis assez longtemps, mais j’attendais que toute mon équipe soit prête et comprenne l’importance du sérieux de ce métier », souligne-t-il. Au total, 25 personnes travaillent aux côtés de Sasha. L’équipe sera divisée en deux. Certains seront à Port-Louis et d’autres à Curepipe.

Le ministre de l’Enseignement supérieure, Rajesh Jeetah, présent à l’inauguration, retient, pour sa part, le professionnalisme de Sasha Coiffure. «Nous avons vu un très beau potentiel. Tout ce que l’on fait, on doit le faire bien. Ce métier est très prometteur et nous connaissons le sérieux de Sasha », soutient-il.

De son côté Arvin Boolell, ministre des Affaires étrangères, fait ressortir que le secteur même de la coiffure est revalorisé à Maurice, grâce au professionnalisme du jeune homme. «Nous ne cesserons jamais de bien faire. Sasha a donné de la dignité à ce métier de coiffeur. Maintenant, la coiffure est un art. Elle a sa valeur », déclare le ministre Boolell.

Sasha Mosafeer a d’autres projets. Le jeune homme compte lancer une carte de fidélité pour ses clients. «Nous tenons à nos clients. Tout est fait pour assurer le respect des cheveux. Et d’ailleurs nous voyons que les gens sont beaucoup plus conscients de l’importance de prendre soin des cheveux», soutient Sasha.

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