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Les grands titres de l’express de ce lundi 17 septembre 2018

17 septembre 2018, 08:24

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Les grands titres de l’express de ce lundi 17 septembre 2018

En une : Réclamations de Rs 75 millions – Complexe sportif de Côte-d’Or : une mine à problèmes ; Conférence de presse – Bal Kouler : l’incompréhensible défense de Dayal ; Enfants vulnérables – La gestion des «shelters» par l’État laissée aux ONG ; Ressources marines – Accord de pêche avec le Japon : l’État ne reculera pas

Réclamations de Rs 75 millions – Complexe sportif de Côte-d’Or : une mine à problèmes 

Un consultant réclame Rs 75 millions en plus de sa note de Rs 300 millions pour adapter le plan du complexe à l’étude géotechnique du site. Ce qui donne des sueurs froides aux autorités et fait craindre que le coût final du projet ne prenne aussi l’ascenseur.

Conférence de presse – Bal Kouler : l’incompréhensible défense de Dayal 

L’ex-ministre de l’Environnement, Raj Dayal, a convoqué la presse dimanche, à 14 heures, au bureau de son avocat, Me Ravi Rutnah, pour révéler des informations qui, selon lui, seraient «disturbing, highly disturbing». Sauf qu’après avoir parlé pendant une dizaine de minutes sur le sujet, et sur une lettre anonyme dont il ne voulait pas donner copie à la presse, nul ne semblait avoir compris ce qu’il reprochait réellement à l’Independent Commission against Corruption et à la police.

Enfants vulnérables – La gestion des «shelters» par l’État laissée aux ONG

Un pensionnaire d’un abri pour enfant coûte Rs 11 000 par mois, soit Rs 378 par jour. Le ministère de l’Égalité du genre, du développement de l’enfant et du bien-être de la famille a lancé un appel à candidatures pour la gestion des shelters appartenant à l’État, la semaine dernière.

Ressources marines – Accord de pêche avec le Japon : l’État ne reculera pas

Le gouvernement compte aller de l’avant avec la signature prochaine d’un accord de pêche avec le Japon. Cela, malgré les contestations des pêcheurs et des écologistes. Après l’Union européenne et maintenant le Japon, Maurice envisage de solliciter l’expertise de l’Inde, de la Chine mais aussi de l’Australie afin de développer les capacités industrielles de nos ressources marines.