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F1: Nico Rosberg attend Noël pour fêter la quille et se verrait bien en héros de cinéma

10 décembre 2016, 21:13

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F1: Nico Rosberg attend Noël pour fêter la quille et se verrait bien en héros de cinéma

Le champion du monde de F1 Nico Rosberg, qui vient d’annoncer la fin de sa carrière, attend Noël pour savourer sa liberté retrouvée et s’il n’a encore rien décidé, un rôle de cinéma pourrait le tenter, dans un film d’action de préférence, a-t-il confié samedi à l’AFP.

«Le premier vrai moment de liberté ça va être Noël, c’est très excitant pour moi», avoue à l’AFP le jeune homme à la tignasse blonde, présent à Nice samedi pour une journée de prévention routière de l’assureur allemand Allianz.

A 31 ans, le pilote allemand de l’écurie Mercedes a créé une énorme surprise en annonçant le 2 décembre qu’il arrêtait sa carrière, cinq jours seulement après son premier titre mondial.

A l’aube d’un nouveau chapitre de sa vie, d'«un gros changement», il sait seulement que pour Noël, il sera avec sa femme et sa petite fille «à Ibiza, avec le sapin, le dîner typique et la dinde».

Ensuite? «Je vais chercher de nouveaux projets où mettre toute ma combativité», dit-il en français, lui qui a grandi à Monaco et se considère chez lui sur la Côte d’Azur.

Dans dix ans, il se verrait volontiers avec de nombreux enfants: «Ce serait sympa, une équipe de foot! Mais ma femme Vivian n’est pas trop convaincue par cette idée!»

Se laisserait-il tenter par un rôle au cinéma? «Oui, j’aimerais bien. Je connais aussi des acteurs en Allemagne, peut-être un jour, ce serait sympa. J’ai déjà un peu d’expérience car en étant pilote, il faut qu’on fasse beaucoup de pubs. Action hero, ça me plairait!...»

Que répond-il à ceux qui n’ont pas compris qu’il abandonne brusquement la F1, voire l’ont traité de «lâche»? «A ceux-là, je veux dire: regardez les trois années passées et gardez ce souvenir fantastique. Moi, c’est ce que je vais faire».

«C’était une période incroyable, je suis fier d’y avoir participé, d’avoir battu Lewis (Hamilton, son coéquipier et rival chez Mercedes, NDLR) et d’être champion du monde. Maintenant ça y est, j’ai réussi et je passe à autre chose», ajoute-t-il, en souhaitant «avoir plus de temps pour (sa) famille».

«Ma fille a un an et demi et ça n’arrivera qu’une fois», insiste le pilote, fils du Finlandais Keke Rosberg, lui aussi couronné champion du monde, en 1982.