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Les grands titres de l’express du lundi 7 décembre

7 décembre 2015, 06:59

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Les grands titres de l’express du lundi 7 décembre

En une de l’express: Menon Murday se dit «humilié» par SAJ après la nomination de Vidya Narayen à la vice-présidence. Autres titres : les 15 employés de la Mauritius Shipping Corporation, licenciés vendredi, payés jusqu’à janvier et des chauves-souris vendues à Rs 50.

Vidya Narayen nommée vice-présidente :   «SAJ m’a humilié», affirme Menon Murday

Le candidat battu du n°13 ne décolère pas après que le Premier ministre a déclaré hier qu’il ne pouvait nommer un simple «attendant» comme vice-président de la République. «Mo enn bon solda é li inpardonab. C’est une blessure qui ne va pas cicatriser», lance Menon Murday. Dans le sillage de sa non-nomination, l’on craint une vague de démissions au niveau des instances régionales du MSM…

Mauritius Shipping Corporation : les 15 employés licenciés vendredi payés jusqu’à janvier

 Au départ, trente em­ployés de la Mauritius Shipping Corporation Ltd (MSCL) devaient être licen­ciés. Ce chiffre a été ramené à quinze. Et vendredi, ces derniers ont reçu leur «termi­nation letter» à l’issue d’une réunion finale qui s’est tenue le même jour. Leurs salaires leur seront, cependant, ver­sés jusqu’au 5 janvier.  C’est ce que l’on peut lire dans la correspondance envoyée à la Maritime Transport and Port Em­ployees Union (MTPEU), dont l’express s’est procuré une copie.

Porlwi by light : ce n’est qu’un au revoir...

«Oui, nous recommencerons l’année prochaine.» C’est la promesse d’Astrid Dalais, directrice du festival Porlwi by Light. Alors que les organisateurs s’attendaient à entre 100 000 et 150 000 personnes en trois jours, ils en ont reçu 300 000 en seulement deux jours.

Abattage : des chauves-souris vendues à Rs 50

Ce qu’il en pense de l’abattage des chauves-souris ? Monsieur V., qui habite Amaury, n’a pas d’avis tranché. Ces bêtes, il les aime bien marinées et dans son assiette. Alors que les écologistes hurlent au massacre de notre faune endémique et que les planteurs voient en l’abattage de ces bêtes leur salut éventuel, lui y a trouvé son compte. Gardien d’une chasse qui se situe non loin de son village, quand il ne cuisine pas le mammifère, il le monnaye à Rs 50.