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Le DPP insiste sur l’impartialité de la justice
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Le DPP insiste sur l’impartialité de la justice
La simple mention du fait qu’on puisse acheter ou vendre la justice est révoltante aujourd’hui, mais c’était une pratique courante dans la monarchie britannique. C’est ce que relève le Directeur des poursuites publiques (DPP) dans la première newsletter de son bureau, ce jeudi 5 février.
Le document affiche, d’ailleurs, en première page une citation issue de la Magna Carta : «To no one will we sell. To no one deny or delay right or justice.» Une citation qui se veut une inspiration et qui devrait être placardée sur les murs des institutions publiques et des postes de police, a insisté le DPP, Satyajit Boolell.
Ce dernier a tenu à rappeler que cette charte des libertés décrit des droits fondamentaux essentiels : la suprématie de la loi qui garantit que le public doit pouvoir bénéficier d’un procès juste et équitable.
«La Magna Carta célèbre ses 800 ans d’existence cette année. Elle avait été publiée le 15 juin 1215. Pour marquer l’événement, le Bureau du DPP publiera dans la prochaine édition de la Mauritius Criminal Law Review, un article de Nicholas Cowdery QC, ex-DPP de New South Wales, sur l’histoire et l’importance de cette charte des libertés», a ajouté Satyajit Boolell.
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