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PSG - Un retour éventuel de Leonardo - Blanc: "Ce n'est pas mon problème"

16 mai 2014, 18:57

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PSG - Un retour éventuel de Leonardo - Blanc: "Ce n'est pas mon problème"
"Ce n'est pas mon problème, c'est un problème d'organigramme du club", a déclaré le technicien en conférence de presse.
 
"Quand je suis arrivé, il y avait un directeur sportif, M. Leonardo, avec qui j'ai collaboré, avec qui j'ai aimé collaborer. C'est lui qui est parti. Si le club décide de prendre un directeur sportif, l'entraîneur que je suis s'adaptera à cela, que ce soit avec une personne qui a déjà rempli ce rôle ou une nouvelle personne. Ce sont des décisions de club et je n'ai pas à interférer là-dessus."
 
"Cette année, on a très bien fonctionné avec les gens en place qui avaient des responsabilités", a-t-il ajouté. "L'année prochaine, on fonctionnera de la même façon ou peut-être d'une autre façon, si des gens viennent étoffer le staff technique, il n'y a pas de problèmes pour moi."
 
La Gazzetta dello sport a évoqué mercredi des contacts entre la direction du PSG et Leonardo. ce dernier avait démissionné en juillet 2013 après avoir été suspendu 14 mois en appel par la Fédération française de football (FFF), pour un coup d'épaule - qu'il conteste - contre l'arbitre de la rencontre de Ligue 1 entre le Paris SG et Valenciennes, au Parc des Princes, le 5 mai 2013.
 
Interrogé mercredi par l'AFP, le Brésilien n'avait ni confirmé ni démenti. "Mon rapport avec le PSG n'a jamais été coupé", avait-il expliqué. "Avant le 30 mai, où je me présenterai au Tribunal (administratif, ndlr), rien ne peut se passer. Mais dans ma vie tout est possible."
 
Depuis le départ de "Leo", son poste de directeur sportif n'a pas été pourvu au PSG.
 
Fin avril, le Conseil d'Etat a donné raison à Leonardo estimant que la FFF ne pouvait suspendre quelqu'un qui n'était pas licencié. L'ancien champion du monde brésilien (1994) avait alors saisi la justice française.
 
Le tribunal administratif avait suspendu la sanction, mais la FFF avait contesté cette décision devant le Conseil d'Etat. L'affaire repasse une dernière fois devant le TA le 30 mai.